Slow Fashion : le guide pour s’habiller de façon responsable

Je vous donne mes astuces pour vous habiller dans le respect de l’environnement et de l’humain.

La mode est la seconde industrie la plus polluante au monde. 

C’est un fait. C’est indéniable. 

La production, la livraison, les invendus de vêtements… Tout cela est un vaste sujet sur lequel bon nombre de réflexions sont à poursuivre pour minimiser l’impact du secteur de l’habillement sur la planète et sur l’homme. 

Alors vous allez me dire que c’est l’affaire des politiques ainsi que des grands groupes. Et que nous, petit peuple, n’y changerons rien.

En effet, il y a un travail en profondeur et des efforts à fournir de la part de grandes enseignes de “fast fashion” telles qu’on les appelle : Zara, H&M ou pire, Shein et autres Primark. Et tant que des marques de luxe continueront à sortir des collections au gré des défilés dont le calendrier est devenu n’importe quoi, l’évolution dans le bon sens semble compliquée.

Pour ma part, je suis partisan du fait que chaque petite action compte.

Soyons optimistes.

À notre petite échelle, nous pouvons avoir un impact. 

C’est pour ça que j’ai créé le mouvement #lavieenslow sur Instagram, afin de sensibiliser ma communauté à la mode eco-consciente, tant par les contenus que je publie qu’avec des événements que j’organise et donc je vous parle à la fin de cet article.

Toutefois, je vous l’accorde, on peut prétendre que c’est l’hôpital qui se fout de la charité lorsque l’on sait à quel point j’adore la mode et Ô combien de vêtements je consomme… My bad !

J’ai toujours eu conscience de mon impact écologique personnel. Et loin de moi l’idée de devenir un donneur de leçons tel un véritable militant écologiste. 

Non. 

Pour ma part, j’estime que personne n’est réellement parfait lorsque l’on parle d’écologie. On voyage en avion, on se déplace en voiture,... Le tout est d’en avoir conscience et de se poser la question : comment je peux compenser au mieux ? 

Voilà l’objectif de cet article : vous donner des astuces si, comme moi, vous adorez la mode et possédez beaucoup de vêtements…

Toutefois, avant toute chose, je souhaite poser un cas d’école pour partir sur de bonnes bases. 

Vous me suivez ? C’est parti !

Fast Fashion : le cas Shein

Avant de parler de la Slow Fashion, la mode responsable, il convient d’expliquer la Fast Fashion, l’opposée. 

J’estime que de nombreux reportages télé ou Web vous présentent déjà les dérives de cette industrie, mieux que moi. 

Ainsi, pour apporter une plus value à tout ce qui a déjà été dit, je vais vous raconter mon histoire…

Mars 2023, je suis invité à un événement : l’inauguration du pop-up store Shein au sein d’un établissement qui est une véritable institution de la ville de Nice. 

Choqué. Déçu. 

Je remercie donc pour l’invitation et précise qu’en tant que créateur de contenus engagé dans la mode responsable, je ne mettrai JAMAIS un pied dans un tel événement. 

Et complètement offusqué, je publie un screen de l’invitation et de ma réponse dans ma story Instagram, en interpellant la ville de Nice ainsi que ses élus politiques. 

Ni une, ni deux, c’est Nice-Matin qui relaie l’information en précisant qu’un influenceur niçois s’est déjà opposé à l’événement, avec mon pseudo affiché. 

Il ne faut pas 2 jours pour que Christian Estrosi, maire de Nice, prenne son téléphone, appelle le dirigeant de l’établissement en question, et fasse annuler l’événement, sans oublier de préciser qu’il mettrait tout en oeuvre pour que l’événement ne voit jamais le jour dans la ville, dans quelque établissement que ce soit. 

Pas peu fier du mouvement que j’ai initié, j’ai bien entendu, tant été félicité par des personnes averties que détestées par d’autres, moins éduquées aux dérives de la fast fashion, notamment sur Facebook, réseau social qui accueille désormais tant de beau monde. 😌 

Bref, tout ça pour vous dire que dans cette histoire, sollicité par la presse locale, j’ai eu l’occasion (et le plaisir) d’échanger avec TheGoodGoods, un média spécialisé et engagé que je suis depuis plusieurs années déjà et que je vous recommande. 

Nous avons discuté de Shein et de la Fast Fashion et il en est ressorti plusieurs constats ainsi que de nouvelles connaissances, notamment un concept que je vous partage ici. 

Voici donc les enseignements tirés de mon échange avec Victoire Satto, co-fondatrice de The Good Goods…

Un achat sur Shein, c’est une consommation minute qui n’est pas durable dans le temps. On peut le comparer à un fast-food. Il ne s’agit pas d’un investissement intéressant. 

Au niveau de la santé, Shein respecte les seuils de toxicité définis par la norme européenne REACH dont on ne connaît pas les critères et qui n’a pas été révisée depuis 2007… Ainsi, de nombreux produits chimiques ont été découverts et utilisés dans la fabrication des vêtements Shein. Les matières sont issues de la pétrochimie, donc potentiellement toxiques pour la santé humaine, notamment pour l’enfant. 

Concernant la pollution de l’environnement, la Chine est très dépendante du charbon pour l’électricité. Il en est de même pour les matières synthétiques. Au delà de ça, il y a les emballages en plastique transportés par avion. Bon, pour ce dernier fait, comme je disais, nous sommes tous responsables de l’émission de CO2 causée par les avions. 

En terme de mode pure et simple, sérieusement, on ne peut pas aimer la mode et s’habiller chez Shein !

Les pièces sont mal coupées et ne mettent pas en valeur. On parle donc d’un concept d'obsolescence émotionnelle : on se lasse vite d’un vêtement et on le jette rapidement.

Enfin, parlons de l’exploitation humaine par Shein, tant au niveau des travailleurs que des consommateurs.

Les travailleurs intérimaires travaillent dans des conditions précaires et complètement opaques. On parle de 15h de travail par jour, 7 jours sur 7. Ils n’ont pas d’assurance ni de sécurité sur leur lieu de travail. Les contrats sont très courts, occupés majoritairement par de jeunes femmes.

Enfin, il y a une exploitation des données des consommateurs pour savoir ce que l’on va aimer sur leur site Web. C’est la même chose pour les publicités intempestives que Shein affiche sur le Web pour pousser davantage à la consommation, notamment chez les jeunes. En somme, le Règlement Général de Protection de nos Données (RGPD) n’est pas respecté. 

Ainsi, que répondre à un parent qui gagne un Smic, avec un enfant qui souhaite changer de vêtement chaque semaine ? Cela passe forcément par l’éducation : lui expliquer qu’il n’y a pas besoin d’acheter un vêtement chaque semaine et mieux, lui faire lire cet article conjugué aux multiples reportages sur la Fast Fashion… 😊

Lors de l’annulation de l’événement Shein, j’ai échangé avec des personnes qui affirment acheter sur Shein car elles sont enceintes et ont donc besoin de changer de vêtements rapidement, pour une courte période ou encore, tout simplement, qu’elles n’ont pas les moyens de se procurer du made in France. 

À toutes ces personnes, les prochaines lignes sont pour vous…

Quid du made in France ?

Lorsque l’on évoque la mode responsable, on pense tout de suite au Made in France. 

Toutefois, nous le savons, la production française n’est pas à la portée de tous les budgets. 

C’est un fait. En France, les coûts de la fabrication, de la main d'œuvre entre autres impôts et taxes, coûtent encore cher. Et cela se répercute sur le prix de vente final aux consommateurs. 

slip-francais

Au delà de ça, malheureusement, j’estime personnellement que les marques Made in France ne sont pas très créatives, notamment les jeunes griffes françaises qui se lancent… Souvent, il s’agit d’un t-shirt uni avec un logo cousu au niveau de la poitrine. Et oui, 50 euros pour un t-shirt blanc, c’est cher…

Pire encore, en 2023, j’ai accepté de collaborer pour présenter une marque naissante, fabriquée en France. Quelle ne fut pas ma déception lorsque j’ai vu que le design des vêtements était très fortement “inspiré” d’une autre marque déjà bien installée ! La marque m’a confirmé l’inspiration. C’est dommage…

Où est passée la créativité française ? 

Apportons toutefois une nuance… Il y a des entreprises qui valorisent le Made in France et qui le font très bien. Citons Le Slip Français ou Faguo, entreprises à mission, certifiées B Corp™, qui respectent les normes sociales et environnementales les plus élevées. 

En 2024, le Slip Français a même entrepris ce qu’il appelle une (R)évolution : grâce à ses engagements et innovations, Le Slip Français propose une nouvelle collection de sous-vêtements à prix cassés (25€ l’unité au lieu d’une quarantaine d’euros, dès 19€ en packs), sans laisser pour compte la qualité et le design de ses slips, boxers et autres caleçons ! Ce pari est rendu possible grâce à l’industrialisation soit un engagement de 400 000 pièces commandées auprès de 8 partenaires localisés en France ainsi que divers engagements liés pour faire baisser les prix : un approvisionnement matière massifié, des changements techniques sur le produit en lui-même, des postes de travail optimisés et une production industrialisée.

Enfin, sachez que Le Slip Français représente 300 emplois ainsi que 80 entreprises et il faut noter que pour chaque sous-vêtement fabriqué en France, ce sont 3 kilos de CO2 économisés. 

Ainsi, vous l’avez compris, le Made in France est l’affaire de tous !

Pour que cette révolution fonctionne, tous les acteurs doivent s’impliquer, y compris Vous qui valorisez la fabrication française en achetant ses produits.

Grâce à des entreprises à mission telles que le Slip Français, le Made in France est sur la bonne voie et nous ne pouvons qu’espérer de meilleurs jours à ce sujet… 

En attendant, puisque le Made in France n’est pas forcément une option pour tout le monde, il y a des alternatives qui permettent de s’habiller de façon eco-responsable. 

8 astuces pour s’habiller de façon responsable

1. Opter pour la fabrication portugaise 

La première astuce que j’aime bien suivre, c’est de privilégier les vêtements et accessoires fabriqués en Europe.

Notamment, le Portugal est réputé pour ses confections de qualité, surtout sur les chaussures. Par exemple, les artisans portugais travaillent très bien le cuir végétal, avec des méthodes ancestrales, souvent à la main.

Et nous savons que dans ces ateliers, les conditions de travail sont correctes et les droits des employés, respectés.

De plus, la fabrication européenne est gage de circuits courts pour l’acheminement des produits jusqu’au consommateur final. Cela limite donc l’empreinte carbone de vos achats.

Regardez donc vos marques françaises préférées, réputées pour être engagées, et vous remarquerez que la plupart d’entre elles fabriquent au Portugal, du moins pour une grande partie de leur collection; leur objectif principal étant également de dénicher les meilleurs talents et savoir-faire dans les différentes régions d’Europe.

C’est même un argument de vente puisque gage de qualité, l’information est mise en valeur. 

Je cite régulièrement la marque française, Bobbies qui fabrique ses mocassins, derbies et autres bottines au Portugal, “avec amour”.

2. Partager votre penderie avec votre conjoint.e : la mode unisexe 

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La tendance tend de plus en plus vers l’unisexe.

De plus en plus de marques responsables proposent uniquement des vêtements non genrés (Commune de Paris, Cruel Pancake). Même lorsque la griffe est estampillée masculine, celle-ci communique parfois sur une campagne “L’homme pour la femme”, tel que le fait Drôle de Monsieur, par exemple. Et le résultat est canon ! J’aime tout particulièrement lorsque les marques présentent des mannequins androgynes dont il est parfois difficile d’identifier le genre, comme AMI.

Il faut donc savoir en profiter et tirer partie de cette tendance qui a, je pense, de belles années devant elle.

Bien entendu, je ne parle pas de Monsieur qui va porter les jupes de Madame, bien que de plus en plus d’hommes se tournent vers ce vêtement, tout comme les femmes vers les cravates (coucou la saison 4 d’Emily in Paris !).

Plus conventionnel, il est souvent facile d’emprunter un vêtement de Monsieur (un sweat, un t-shirt, une chemise…) ou un accessoire de Madame (un foulard ou même, un sac à main que l’on va porter en crossbody). 

Pour illustrer ce principe, nous nous sommes amusés, avec mon amie créatrice de contenus, Cécile Na, à réaliser une vidéo où elle porte mes vêtements, à découvrir sur nos comptes Instagram respectifs. 

Toutefois, je ne me contente pas seulement de réaliser des vidéos…

J’applique également ce principe dans la vie puisque déjà, mon mari et moi achetons des vêtements pour deux…

Oui, je sais… Vous allez dire : ce sont deux hommes, ça ne marche pas.

N’oubliez donc pas ma belle fille, 16 ans à ce jour, qui pique nos vêtements et que l’on habille dans notre boutique de proximité préférée, Impact Shop, dédiée à l’homme !

À l’ère de la mode des vêtements amples, July porte du Drôle de Monsieur, Edwin, Needles, Homecore… Ça passe très bien et même, avec certaines façons de porter les tenues, comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous ou encore, avec Cécile, celles-ci restent féminines !

3. Valoriser la seconde main

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Veste Drôle de Monsieur, achetée en seconde main sur Vinted

Il est évident que la seconde main est la solution ultime d’une démarche Slow Fashion. En privilégiant le vintage ou la seconde main, votre achat aura un impact limité sur l’environnement puisque celui-ci ne nécessite pas une nouvelle fabrication. 

De plus en plus de personnes achètent en friperie ou sur Vinted. Et les points de vente se multiplient.

J’en profite pour faire un clin d’oeil à ma meilleure amie qui propose des vêtements de seconde main de luxe, pour femme, avec Joséphine Vintage Luxe. Elle vous accueille au sein de sa boutique située aux Puces de Nice, ou sur Vinted. 

De mon côté, j’aime privilégier la seconde main pour dénicher des pièces coups de cœur que j’ai manquées lors d’anciennes collections de mes marques favorites.

À force de patience et de trouvailles sur Vinted ou auprès de mon réseau, cela a le mérite d’être bon pour mon porte-monnaie puisque, bien entendu, le vêtement d’occasion est vendu moins cher que son prix d’origine. 

4. Trier ses vêtements

La suite évidente à la seconde main, c’est le tri de ses propres vêtements.

Régulièrement, je fais un tri dans ma penderie et revalorise mes vêtements à travers trois façons : 

  • Je les donne à des proches ou à des associations

  • Je les revends en vide-dressing ou sur Vinted

  • Je les envoie au recyclage en les déposant dans des points de collecte dédiés. 

Et cette initiative nous amène directement à la suivante…

5. Miser sur les vêtements de qualité 

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En privilégiant des vêtements de qualité, vous optez pour la durabilité. En effet, vous aurez davantage de facilité à les revendre ou à les réparer. 

D’autre part, quand on parle de mode responsable, on entend souvent l’excuse du budget : “Je n’ai pas les moyens de m’acheter des vêtements de marque ou du made in France. C’est pour ça que j’achète sur Shein”. 

Arrêtez tout ! Cette excuse est bidon. 

Si vous achetez un jeans Levi’s (ou mieux, Atelier Tuffery, 100% français), à 120 / 140 euros, celui-ci va vous durer 5, 10 ans, voire même toute votre vie. Si vous avez un jeans Zara ou H&M à 50 euros, celui-ci va vous durer 1 an, 2 ans… Et au bout de 2 ans, vous allez être obligé d’en racheter un. Faites les comptes. Au bout de 4 ans, vous aurez dépensé davantage d’argent que si vous aviez acheté un Levi’s.

Et tout cela, c’est sans compter sur l’obsolescence émotionnelle dont je vous parlais il y a quelques lignes de ça.

6. Acheter dans des commerces de proximité

De notre côté, nous avons banni les grandes enseignes, souvent issues de la fast fashion, telles que Zara, H&M, etc. Et nous n’achetons pas, non plus, sur Internet.

Nous privilégions les commerces de proximité, proposant du multi-marques, pour faire travailler les entrepreneurs locaux et limiter l’impact lié à l’envoi d’un colis, par exemple. 

7. Privilégier les matières certifiées

Je vous invite à jeter un coup d'œil aux matières utilisées par les marques pour la conception de vêtements. Privilégiez les matières recyclées ou les certifications et labels, gages de production éco-responsables et / ou de qualité : un coton organique, une certification GOTS ou Oeko-Tex Standard 100, une garantie sans substances toxiques, une isolation Primaloft® pour une parka…

Et nous avons parlé, quelques lignes plus haut, du cercle très privé des marques labellisées B Corp™, telles que Le Slip Français ou Faguo, qui respectent les normes sociales et environnementales les plus élevées. 

8. Prêter attention à l’histoire et à l’engagement des marques

commune-paris

Enfin, vous pouvez prêter attention à l’histoire ainsi qu’aux initiatives engagées des marques.

Il existe des initiatives qui consistent à reverser un pourcentage de son chiffre d’affaires à une association. Par exemple, on peut citer le mouvement 1% for the planet. 

D’autres part, certaines communiquent sur le refus de brader ses collections lors du Black Friday, puisqu’elles exercent déjà des prix corrects tout au long de l’année (si c’est le cas, elles sont transparentes sur leurs marges) mais également, parce que ces événements de surconsommation ont un impact non négligeable sur l’environnement. 

Privilégiez les marques à la production régulée, notamment celles qui vendent via un système exclusif de pré-commande pour ne pas produire plus qu’il n’en faut, telles que Commune de Paris ou Forlife. 

Ce sont souvent les marques de maillots de bain, telles que Mackeene ou Gili’s, qui dédient leurs produits à la mer et font donc en sorte de préserver la biodiversité avec des matières respectueuses de l’environnement. De plus, pour posséder des pièces de ces marques, je peux vous certifier qu’elles perdurent pendant des années alors s’il vous plaît, oubliez les maillots issus de la fast fashion que vous ne garderez que quelques saisons. 

Attention, enfin, au greenwashing et aux discours des marques qui ont pour vocation de redorer leur image sans réel engagement derrière. Souvent, ces griffes ne donneront pas des preuves concrètes de leurs actions pour le respect de l’environnement et des humains. 

Le mouvement #lavieenslow 

Pour conclure, bien entendu, le meilleur moyen de s’habiller de façon responsable, c’est d’acheter uniquement si vous avez besoin d’un vêtement.

Vous pouvez aussi privilégier le principe 1 achat = 1 vêtement en moins. Cela signifie que lorsque vous achetez un vêtement, vous en enlevez un de votre armoire pour le donner, le revendre ou l’envoyer au recyclage. 

Je n’ai pas inclus ces options dans mes astuces car je ne souhaitais pas appliquer l’adage "Faites ce que je dis, pas ce que je fais !”.

Pour ma part, j’ai également choisi de m’engager en vous partageant ces bonnes astuces, des actions engagées ou les marques éco-responsables les plus créatives, à travers mon blog ou mon Instagram.

Pour cela, j’ai créé le hashtag #lavieenslow que je vous invite à suivre sur Instagram et que vous pouvez, vous aussi, utiliser pour partager vos bons plans Slow Fashion.

Et désormais, ce simple hashtag est devenu un véritable mouvement puisque je vous donne rendez-vous dans la vraie vie avec des événements autour de la mode responsable, comme des vide-dressings conviviaux, qui font également la part belle à des créateurs locaux.

À ce propos, je vous invite à découvrir la vidéo du dernier vide-dressing que j’ai organisé

Comptez sur moi pour continuer sur cette lancée…

D’ailleurs, retrouvez le résumé de cet article, en vidéo.

#lavieenslow

Crédit Photos : Ruben Chiajese Production

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