Collaboration commerciale non rémunérée. Invitation et produit offert

Sur la célèbre corniche des Cévennes, la nouvelle Alpine A110 croise la route de l’Atelier Tuffery pour une collaboration exclusive…

Récemment rentré de mon road trip dans les Cévennes, laissez-moi vous raconter le récit d’une rencontre inattendue…

Aujourd’hui, comme toujours sur ce blog, nous allons parler mode…

Et aujourd’hui, pour la première fois, nous allons aussi parler automobile !

Quoi de mieux pour un univers masculin ?

Mai 2019. Je prends la route, direction Nîmes, point de départ d’un road trip qui me mènera jusqu’à Florac, berceau du plus ancien fabricant de jeans français : Atelier Tuffery.

« Pour nous y rendre, nous prendrons la route qu’empruntait mon arrière grand-père, depuis son atelier jusqu’à Nîmes, pour récupérer ses tissus. »

Cette route, c’est la célèbre corniche des Cévennes, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il s’agit même du patrimoine le plus étoilé de France puisque situé dans la région la moins peuplée et donc, peu polluée.

Quelle chance de prendre cette route, n’est-ce pas !?

Cette chance se décuple lorsque l’on découvre notre moyen de locomotion pour ce road trip…

C’est à bord de l’Alpine A110, nouvelle sportive de la célèbre maison française que nous allons filer les kilomètres…

Ce choix n’est pas dû au hasard puisque les deux manufactures collaborent aujourd’hui pour sortir un nouveau jeans qui fait écho aux détails de la voiture et répond aux besoins de ses adeptes.

Pour l’occasion, le jeans Atelier Tuffery se dote d’une innovation brevetée, dévoilée, en exclusivité pour Alpine…

Quelle est-elle ? Pourquoi et comment deux entreprises emblématiques, ancrées dans des univers si différents, peuvent collaborer sur un produit commun ? C’est ce que nous allons apprendre à travers cet article…

Après mon ressenti suite au test de ce véhicule exceptionnel, je vous emmène à la découverte de l’Atelier Tuffery et des secrets de fabrication de ses jeans… Je vous présenterai enfin ce nouveau modèle en collaboration qui repense intelligemment un héritage du passé…

Voici le résumé d’un road trip placé sous le signe du savoir-faire à la française !

Alpine A110 : solaire et puissante sur la route bleue des Cévennes

C’est en 1955 que Jean Rédélé, concessionnaire et coureur automobile, construit la 1ère Alpine, à Dieppe, dans le Nord de la France, à partir des mécaniques Renault. Championne des rallyes, véritable voiture de collection pour les passionnés, l’Alpine se distingue, tant par son look que ses performances.

Près de 60 ans plus tard, en 2016, Alpine renait de ses cendres avec la nouvelle A110, toujours produite à Dieppe, toujours inscrite dans une démarche de sportivité, toujours avec le même capital sympathie auprès du public. Le challenge était de remettre sur le marché une petite sportive avec l’ADN de son illustre aînée, la berlinette A110. Egalement, il s’agissait de réinscrire Alpine dans la compétition automobile, lors des courses d’endurance. Le retour est gagnant quasi-immédiatement puisqu’Alpine remporte la victoire au 24h du Mans, en 2016 et 2018, dans la catégorie LMP2.

Pour le grand public, la firme Alpine a mis en vente une première série de 1955 nouvelles A110. Appelées Première Edition et numérotées, elles ont été intégralement vendues en moins de 72 heures auprès des adeptes de la marque et autres amoureux de l’automobile !

L’Alpine A110 est désormais disponible en deux versions :

A110 Pure, résolument sportive, qui s’inscrit dans la lignée de la berlinette
A110 Légende au caractère de Grand Tourer

Je préfère vous prévenir : je ne suis pas un grand passionné d’automobile ni un fervent amateur de vitesse.

Je me place donc ici en tant que personne lambda qui vit une expérience unique, au volant d’une voiture aussi puissante que séduisante… Peut-être comme vous ?

Autant vous le dire sans attendre… J’ai KIFFÉ !

Au début, je suis parti avec une petite appréhension. Moi qui conduis une petite, toute petite Smart, je me retrouve à bord d’un bolide qui passe de 0 à 100km/h en 4,5 secondes… Tout est sous contrôle !

Forcément, j’avais peur de me planter. Et visiblement, vous aussi, compte tenu des messages reçus en réaction à mes stories Instagram 😂 Merci de vous être inquiétés pour ma sécurité !

Finalement, dès les premières minutes, je me suis senti à l’aise. Et finalement, sans même m’en rendre compte, au bout des quelques premiers kilomètres, je me suis surpris à discuter tranquillement avec mon co-pilote pendant que je roulais dans les rues de Nîmes.

Une fois arrivés dans les lacets de la corniche des Cévennes, on active le mode sport pour une conduite plus puissante. Et là, je suis libre de me lâcher complètement, de jouer avec les palettes au volant et d’exécuter quelques pics de vitesse sans aucune appréhension.

En effet, la nouvelle Alpine A110 est très facile à prendre en main. Il s’agit d’une voiture légère qui ne se laisse pas surprendre facilement.

Même lorsqu’il s’agit de doubler des véhicules, une fois la bonne visibilité acquise dans une ligne droite, le dépassement se veut très rapide, sans pression. Sauf pour le co-pilote, peut-être… 😂

À l’intérieur d’un tel bolide, on se laisse facilement porter par le bruit du moteur. Moi qui suis souvent exaspéré par les démonstrations exagérées des moteurs puissants, celui de l’Alpine stimule l’adrénaline sans tomber dans le cliché.

Très à mon aise avec les confortables sièges baqués, je me laisse également séduire par la beauté des détails au volant, aux commandes, sur le tableau de bord… Rien n’est pensé au hasard. L’habitacle se veut à la fois chaleureux et sportif avec des matériaux chauds comme le cuir, alliés au carbone et à l’aluminium.

Enfin, il est impossible d’évoquer l’Alpine sans parler de sa couleur emblématique qui la sublime et lui donne un caractère si particulier. Très solaire, ce « Bleu Alpine » rend le modèle réellement unique et reconnaissable entre toutes.

Seuls (ou presque) sur la route, nous profitons des merveilles que la nature nous offre, direction Florac, berceau du premier maître tailleur-confectionneur de jeans français…

Atelier Tuffery : savoir-faire ancestral, transmis de génération en génération

C’est à Florac, au coeur du Parc National des Cévennes, que le jeans français est né.

En 1892, alors qu’un grand chantier bât son plein pour la construction de la ligne de chemin de fer, Célestin Tuffery, maître tailleur-confectionneur du village, comme il s’en faisait si peu à l’époque, est sollicité pour confectionner le bleu de travail, fonctionnel et robuste, des ouvriers.

À cette époque, le prêt-à-porter n’existe pas. La toile en coton que déniche l’arrière grand-père Tuffery à Nîmes, est une belle innovation. Elle est peu coûteuse, produite en grande quantité, facile à tisser et à filer. Le pantalon en toile denim (de Nîmes; vous saisissez l’origine du nom ?) ainsi que l’atelier de confection Tuffery naissent ainsi.

Quelques années plus tard, Jean-Alphonse Tuffery, le grand-père, met en place un modèle de consommation, alors même que le Blue Jeans arrive en force depuis les États-Unis. À cette époque, l’entreprise emploie une cinquantaine de personnes, ce qui est un fait très marquant pour ce territoire rural. L’atelier acquiert une renommée nationale et démocratise le jean avec 500 productions par jour. On parle alors de la maison familiale comme de la plus ancienne fabricante de jeans, en France.

Les années passent et le savoir-faire se transmet de père en fils. Arrive alors la 3ème génération qui fait de son bleu de travail, une véritable pièce de mode. La marque Tuff’s est créée pour rivaliser avec les géants américains et devenir partenaire majeur des grandes marques de jeans françaises.

Dans les années 80, alors que la mondialisation marque le déclin de l’industrie textile française, Tuff’s fait le pari de privilégier la qualité à la quantité. Les trois frères Tuffery poursuivent leur développement avec l’ouverture d’une boutique où une sélection d’autres marques côtoient les jeans Tuff’s pour une offre de vente complète. La production devient confidentielle et se destine à séduire les clients avertis, amateurs de ce savoir-faire inégalé. Aux début du 21ème siècle, ils deviennent les derniers et uniques fabricants de jeans français…

C’est là que le Made in France, symboliquement représenté par l’emblématique marinière d’Arnaud Montbourg, redore son blason et que le renouveau du patrimoine artisanal français s’installe. En 2014, accompagné de son épouse Myriam, Julien Tuffery, 4ème et actuelle génération, décide de reprendre la maison familiale et profite de cette occasion pour revaloriser ce trésor de l’industrie qui prône ce Made in France depuis plus d’un siècle. Tuff’s redevient l’Atelier Tuffery pour un retour à l’héritage du geste. En parallèle, Julien se sensibilise aux questions environnementales et responsables.

À l’ère du digital, Julien et Myriam se servent du Web pour révéler l’artisanat rural puisque c’est toujours à Florac que les deux entrepreneurs installent le nouvel atelier de l’Atelier Tuffery qui emploie, aujourd’hui, une dizaine de personnes. Chacune d’entre elles est formée à ce siècle de savoir-faire, de façon polyvalente, sur l’ensemble des tâches liées à la confection d’un jean, soit 30 métiers différents en fabrication. Pour vous donner un ordre d’idées, le cycle de formation d’un nouveau maitre tailleur-confectionneur dure 1 an et demi !

L’Atelier Tuffery dessine de nouvelles coupes adaptées aux tendances contemporaines ainsi qu’aux exigences de notre quotidien. En parallèle, la marque continue d’éditer les modèles mythiques de la maison qui font encore sa renommée d’aujourd’hui.

La préférence est toujours à la qualité plutôt qu’à la production de masse. Aujourd’hui, il faut entre 1h et 1h30 à l’Atelier Tuffery, pour fabriquer un jean.

Les toiles choisies sont sélectionnées sur des critères esthétiques et mécaniques ainsi que selon leur provenance et leur méthode de fabrication. Elles sont voulues résistantes pour produire des jeans qui perdurent dans le temps et surfer sur la vague « slow fashion », à savoir consommer responsable. Aujourd’hui, il vaut mieux acheter un jeans par an, à 109€ (prix du best seller Atelier Tuffery) qui durera plusieurs années, plutôt que 3 à 35€ qui s’abîmeront en un rien de temps, n’est-ce pas ? Et pour pousser cette consommation responsable, l’atelier répare ses modèles. Une cliente de l’Atelier Tuffery est fière de son jeans qu’elle possède depuis plus de 20 ans !

À ce propos, la maison met également l’accent sur ses innovations telles que la poche arrière, cousue en deux parties pour deux raisons :

limiter les chutes
si besoin, changer uniquement la partie basse de la poche qui s’abîme plus vite.

Cette fabrication en deux parties représente une perte de temps au moment de la fabrication mais un avantage certain !

D’ailleurs, lors de la visite de l’atelier, nous avons appris que toutes les pièces d’un jean, que vous pouvez voir sur la photo ci-dessous, s’assemblent à la main, sans machine.

J’ai pris plaisir à découvrir les différentes étapes de fabrication d’un jean au sein des trois ateliers :

l’atelier de découpe qui nécessite un travail des plus minutieux, que l’on a pu constater en direct.
l’atelier de montage où le travail est circulaire pour ne pas que les employés se tournent le dos, pour la pluridisciplinarité ainsi que pour éviter la redondance des tâches et donc l’ennui de la routine et la perte de qualité. Chaque personne doit ainsi avoir les mêmes degrés d’excellence dans tous les gestes.
l’atelier de finition pour un contrôle qualité après l’apprêtage et le rinçage du jeans pour les couleurs les plus claires.

Au sein de l’atelier, les jeans sont fabriqués en petites séries, de 30 à 40 pièces avant de passer à un modèle différent. Certes, c’est encore une fois, une perte de temps par rapport à une production par 500 pièces. C’est le prix de l’excellence de fabrication ! Dans ce second cas, il y a de grandes chances que les 100 premières pièces soient bien réalisées puis que l’on perde de la motivation pour les suivantes.

En moyenne, une personne fabrique entre 6 à 8 jeans par jour.

Autre fait important qui prouve le sens du détail ainsi que les valeurs de l’Atelier Tuffery : les boutons sont en cuivre puisqu’il s’agit du métal qui se recycle le mieux. Tout le cuivre est issu du recyclable. Le coût à l’achat est 5 fois plus cher mais la marque tient à limiter son empreinte environnementale.

Parlons enfin des prix… Atelier Tuffery souhaite proposer le tarif le plus juste possible. Sur le coût de revient d’un jeans, 70% est consacré à la main d’oeuvre. C’est notamment pourquoi vous n’y trouverez jamais de soldes.

La vente se fait quasi exclusivement en direct pour éviter les coûts intermédiaires mais surtout, parce ce que ce sont les personnes qui fabriquent les jeans de leurs propres mains qui les vendent le mieux.

Comme je vous l’ai dit plus haut, le must have de la marque est à 109€. Pour un jean sur-mesure, il faut compter 309€, ce qui est moitié moins cher par rapport à une grande marque américaine. Pour un jean sur-mesure, il faut compter 1 personne pour environ 8h de travail. À ce propos, le sur-mesure peut s’envisager sur place, à l’atelier, ou sur rendez-vous, lors des déplacements de l’équipe dans les grandes villes.

Un jean n’est pas moins cher lorsqu’il est acheté à l’atelier. Le seul avantage du lieu réside dans les retouches offertes.

Pour l’avenir, la manufacture est sollicitée à l’international mais les volumes et marges ne leur permettent pas de s’y rendre pour l’instant. Ils s’arment de patience, recrutent et forment… Et le temps viendra.

Au niveau du retail, Atelier Tuffery ouvrira, prochainement, les portes de son atelier boutique parisien, en nom propre.

Atelier Tuffery x Alpine : l’innovation made in France

C’est sur le salon du Made in France que les équipes d’Alpine et d’Atelier Tuffery se sont rencontrées.

On peut vite se demander comment ces deux marques aux univers si différents peuvent se retrouver sur un projet commun.

C’est très simple. Des deux côtés, il y a, d’abord, une dynamique liée à la relance d’une marque puis une passion, une exigence et un esprit de conquête animés par une volonté d’innovation, de polyvalence et du respect du savoir-faire français.

D’autre part, Alpine a été nommée en référence au plaisir de conduite ressenti par Jean Rédélé sur les routes des Alpes. Indirectement, cette attirance pour les grands espaces et leurs paysages surprenants à chaque virage, que j’ai bien saisie lors de mon road trip, a réuni ces deux maisons. En 1956, 1 an après la création d’Alpine, le Critérium des Cévennes voit le jour. Cette course devient incontournable pour les pilotes de haut niveau. Entre 1966 et 1977, les Alpines ont marqué ce territoire de denim avec pas moins de 8 victoires ! Là où ils sont, Jean et Célestin doivent, sans doute, être très fiers de la valorisation cet héritage en commun !

Également, Alpine a souhaité penser son merchandising différemment pour une entretenir la relation avec les clients passionnés par cette manufacture. L’idée est de continuer à leur conter de belles histoires après l’achat de leur voiture.

Chez Alpine, il y a un fort esprit communautaire avec un merchandising déjà bien développé. Cette fois, on met de côté le modèle réduit de l’A110 ou le polo estampillé Alpine et on leur propose un produit qui peut réellement correspondre à leurs attentes du quotidien.

Du côté d’Atelier Tuffery, la volonté était de rester dans leur coeur métier, proposer un produit qui soit vrai, juste, en adéquation avec l’ADN des deux manufactures et ainsi, une expérience de découverte.

Le nouveau jean Atelier Tuffery x Alpine est donc pensé pour le confort du conducteur, homme ou femme.

Chez l’homme, Atelier Tuffery opte pour sa coupe « Alphonse », emblématique de la marque, casual et ajustée avec une taille standard. Parfait basique, elle est adaptée au quotidien. Le confort est maximal grâce à la présence de 2% d’élasthane qui enrichissent une toile denim brute de 12,75 Oz.

Lors de ma visite à l’atelier, j’ai eu l’occasion de l’essayer très brièvement, le temps de prendre mes mesures et de recevoir un jean parfaitement adapté à ma silhouette. Pendant ce court instant, je peux vous assurer que j’ai véritablement ressenti le confort du modèle. Et pour une rare fois dans ma vie, je me suis, de suite, senti à l’aise dans un jean.

Quelques semaines plus tard, j’ai reçu mon jean. Bien entendu, l’atelier misant sur la qualité par rapport à la quantité, j’ai dû m’armer de patience pour la bonne cause. 😊

Au delà du plaisir de me replonger dans les souvenirs de ce road trip, je suis suis véritablement ravi de mon nouveau jeans. On sent, réellement, que la qualité est au rendez-vous et que nous venons d’acquérir une pièce costaud et résistante, un véritable investissement dans le temps.

Lors des premiers essayages, j’avais peur de la coupe car j’ai passé un modèle qui était plutôt large en bas alors que je porte des pantalons, plutôt près du corps. Toutefois, les équipes ont bien assimilé mes goûts et mes envies. Ils ont, notamment, remarqué le fait que je porte toujours mes pantalons avec des ourlets. Et le résultat est pile comme je l’attendais. Ils adaptent vraiment le jeans à votre morphologie ainsi qu’à vos envies.

Sur ce modèle, les détails font écho à ceux de la voiture :

Le bouton de ceinture, en métal, reprend le logo qui orne le noyau du volant en relief de l’A110.
Les deux brides de renfort autour de la poche gousset, de couleur orange, rappellent la signature racing qui fait la renommée d’Alpine.
Les coutures discrètes reprennent le sublime bleu Alpine.
Deux rivets portent les couleurs du drapeau tricolore, également présent sur la voiture.
Un jacron cuir noir brodé de fil bleu et blanc est inspiré de l’intérieur de la voiture.

Et je vous parlais donc d’une innovation de la part de l’Atelier Tuffery dévoilée en exclusivité pour cette collaboration. La voici donc…

Sur les jeans, tout le monde connaît la poche gousset, intégrée à l’intérieur de la poche qui, à l’époque, servait donc à ranger soigneusement l’accessoire par excellence : sa montre gousset.

Aujourd’hui, quel est notre accessoire par excellence ?

Et bien, le smartphone, bien entendu… 😏

Et autant vous dire qu’il n’y a pas beaucoup de place pour ranger son téléphone au sein de la voiture…

Atelier Tuffery réinvente donc la poche gousset avec une innovation déposée.

Celle-ci peut désormais accueillir un smartphone de façon tout à fait unique et fonctionnelle.

Pour nous les hommes, il n’a jamais été trop confortable d’avoir son smartphone dans la poche… De plus, on parle de mauvaises ondes qui pourraient causer des problèmes de fertilité…

Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous, c’est de l’histoire ancienne !

Sur le jean Atelier Tuffery x Alpine, on garde un accès complet à la poche principale. Et il y a une sorte de seconde poche dans la poche… Celle-ci s’avère très pratique puisqu’on peut la rentrer ou la sortir, à sa guise, et récupérer facilement son téléphone. Une fois assis sur les sièges baqués de la voiture (ou sur mon canapé, en l’occurence… 😏), nous gardons une certaine aisance et ne sommes plus dérangés par notre téléphone.

De surcroît, entre le téléphone et le fond de la poche, Atelier Tuffery y a introduit une fibre tissée en fil d’argent qui bloque les ondes et limite les risques. La maison confirme ainsi sa volonté de proposer des produits responsables.

Il faut savoir que cette innovation, déposée via un brevet mondial, est lancée, officiellement, avec ce modèle issu de la collaboration. Depuis, Atelier Tuffery intègre la poche pour mobile sur l’ensemble de ses jeans. Ce sont les premiers au monde à proposer cela. Quand la France innove, on ne peut qu’être fiers de notre patrimoine !

Enfin, le prix du jean est de 170 euros et il est déjà disponible à la vente sur le site d’Atelier Tuffery.Il faut savoir que cette innovation, déposée via un brevet mondial, est lancée, officiellement, avec ce modèle issu de la collaboration. Depuis, Atelier Tuffery intègre la poche pour mobile sur l’ensemble de ses jeans. Ce sont les premiers au monde à proposer cela. Quand la France innove, on ne peut qu’être fiers de notre patrimoine !

Enfin, le prix du jean est de 170 euros.

Petite information exclusive, le staff et les pilotes Alpine seront vêtus du jean, en exclusivité, lors du prochain 24h du Mans. Un beau challenge pour l’atelier qui doit s’activer sur la production. Nul doute qu’ils y arriveront !

Atelier Tuffery sera également présent sur l’événement pour tailler un jean aux amateurs.

Et misons également sur une victoire de l’Alpine, pourquoi pas !?

À travers cet article, j’espère avoir réussi à vous faire ressentir le plaisir que j’ai pris à conduire la voiture ou à découvrir les ateliers d’une emblématique marque française.

Ce road trip a également été l’occasion de jolies rencontres, à l’image de celle avec Joe, le créateur du célèbre blog homme, Comme un Camion.

Enfin, un grand merci à Valentin, mon co-pilote (désolé pour les pointes d’accélération… 😂) ainsi qu’aux équipes d’Alpine et d’Atelier Tuffery pour leur formidable accueil !

Crédit Photos : Beau Parleur & Clément Rougier